The Granary, c’est le nom du premier album de Nicolas Torracinta.

The Granary, c’est le grenier, sur les flancs d’une montagne de Balagne, où, depuis son enfance, Nicolas joue, des heures durant, au milieu des guitares, des amplis et des micros empilés.

The Granary, c’est l’endroit de toutes les expérimentations,

c’est un refuge où l’imagination musicale ne connaît plus d’entraves.

 

 

Nicolas Torracinta est au carrefour de nombreuses influences, de la chanson corse au folk, en passant par le blues et le rock. Il s’est nourri de ces musiques qui irriguent son disque mais il a voulu prendre le temps de les digérer, pour trouver son propre style, sa propre voix.

 

Sur The Granary, il a voulu chanter en anglais. Un choix qui s’est imposé très rapidement. « L'idée, c'était d'habiller, dans une autre langue, un point de vue insulaire. Ne pas regarder les choses comme un Anglais, ou comme un Américain. Mais comme un Corse. Pour, ensuite, livrer un point de vue dans une autre langue. Je pensais que cela me permettrait presque de recommencer à zéro. De trouver une certaine spontanéité. Comme les gamins qui font quelque chose, sans réfléchir ».

 

Loin de tout.

 

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